Tarifs :
Prévente : 16€*
Sur place : 18€
* + frais de location
Ça donne quoi la pop électro mélangée au folklore géorgien ? Ou mixée avec des sonorités nord-africaines ? Ou encore triturée à l’infini à en devenir un objet futuriste et inclassable ? Ces trois artistes vous emmèneront aux confins de la pop …
Tout d’abord le géorgien Tamada présentera son électro-pop psyché inspirée des chansons traditionnelles géorgiennes. Sami Galbi de son côté utilise machines analogiques, synthétiseurs et guitare pour explorer les musiques populaires et folkloriques nord-africaines (raï et shaabi notamment) et les amener du côté du club. On restera en club avec le Kenyan Kabeaushé artiste tout à tout qui fabrique une pop percutante, expérimentale, puissante et futuriste. Le tout servi par un show incroyable et ultra dansant.
Rendez-vous au Hasard Ludique le jeudi 28 novembre pour les découvrir par vous-même !
Avant d’adopter le nom d’artiste Tamada, Lasha Chapel publiait sous son propre nom de la musique house aux accents occidentaux. Aujourd’hui, il élabore une œuvre musicale unique qui rend hommage à ses origines culturelles et mêle le folklore géorgien traditionnel à la musique alternative occidentale.
Tamada, auteur-compositeur-interprète et producteur géorgien, tire son nom du maître de cérémonie des banquets traditionnels en Géorgie. Son premier album, Dionysus vs Tamada, mêle écriture poétique et éléments électroniques, créant une musique à la fois expérimentale et accrocheuse. Ses paroles, inspirées des toasts en géorgien ancien, abordent des thèmes sociaux et romantiques.
Rapidement, Tamada a conquis un large public en Géorgie, devenant une figure majeure du paysage musical. Ses performances dans des festivals et clubs renommés à travers le monde, ainsi que ses collaborations avec des artistes comme Acid Pauli et DOP, ont solidifié son influence. Son deuxième album, 9 Deadly Sins For Tamada, sortira le 4 juillet, avec des singles déjà présentés dans l’émission COLORS.
Musicien helvético-marocain issu des scènes alternatives romandes, Sami Galbi puise dans la musique de son enfance, celle qu’il a redécouverte dans les cabarets de Casablanca, le raï et le chaâbi qu’il raconte à sa façon. Avec ses machines analogiques, synthétiseurs brutes et effets de guitare, il aime moduler les musiques populaires et folkloriques nord-africaines en leur donnant une texture pop et une atmosphère club. Sur scène, Sami défend une musique « High Energy » empruntant les codes des musiques urbaines que sont la bass music anglaise et le hip-hop west-coast.
Kabeaushé façonne un son bien à lui, imprégné de sensibilités pop allant de Prince à Bollywood, en passant par Tyler, the Creator. La meilleure façon de décrire sa musique serait probablement du pop futuriste/ intelligent, un oiseau rare dans le paysage musical africain. Son show est un mélange de musique et de théâtre, développé pendant des mois à Kampala avec une équipe créative. Kabeaushé aime explorer des thèmes de douceur et de mignonnerie, créant une musique à la fois douce et extrêmement stimulante, avec un spectacle conçu pour entraîner le public dans une frénésie de danse hypnotique.
